On recherche les bad boys activement puis on pleure parce qu’ils sont beaucoup trop bad, bad, bad.
Mais voilà c’est vicieux.
On aime le danger et se brûler n’est plus un problème. Le feu nous consume et cette sensation est idyllique. Puisque la douleur est comme une drogue. Une toxine dans notre cerveau. On est là, on se détruit. On jure aimer parce que sinon ça n’aurait plus de sens. On a besoin de ça pour rendre notre vie plus active, plus normal, plus saine. Ce qui finalement rend la chose encore plus malsaine. Le mensonge nous enveloppe tel une seconde peau.
On s’en rend compte quand f*ckboy fait son dernier coup.
On souffre.
On pleure.
Mais, addict, sait que même si c’est mal, même si ça nous tue on veut notre seringue.
Toi, ma toxine.
Je te voulais comme jamais je ne voudrais autre. Mais tu n’es plus là et ma sobriété me joue des tours.
C’est dans ma sérénité que j’y vois plus clair mais c’est dans l’adversité que je combats mes démons les plus forts.