Les F*ckboys

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On recherche les bad boys activement puis on pleure parce qu’ils sont beaucoup trop bad, bad, bad.

Mais voilà c’est vicieux.
On aime le danger et se brûler n’est plus un problème. Le feu nous consume et cette sensation est idyllique. Puisque la douleur est comme une drogue. Une toxine dans notre cerveau. On est là, on se détruit. On jure aimer parce que sinon ça n’aurait plus de sens. On a besoin de ça pour rendre notre vie plus active, plus normal, plus saine. Ce qui finalement rend la chose encore plus malsaine. Le mensonge nous enveloppe tel une seconde peau.
On s’en rend compte quand f*ckboy fait son dernier coup.
On souffre.
On pleure.
Mais, addict, sait que même si c’est mal, même si ça nous tue on veut notre seringue.

Toi, ma toxine.
Je te voulais comme jamais je ne voudrais autre. Mais tu n’es plus là et ma sobriété me joue des tours.

C’est dans ma sérénité que j’y vois plus clair mais c’est dans l’adversité que je combats mes démons les plus forts.

Instabilité

FeaturedInstabilité

Je n’ai aucun plaisir à écrire mes maux. Il n’y a rien de plaisant à s’ouvrir. C’est douloureux. Le pire sentiment, à vrai dire.

Je te déteste.
Je t’aime.
Je te veux.
Barre-toi. 

Je veux que tu dégages. Je suis dans une constante instabilité. Je veux tes bras. Que tu me berces, que tu me dises que dans un idéal nous sommes heureux. Je veux que tu penses que notre bonheur peut exister. Mais, je désire aussi que tu t’en ailles, le plus loin. Que tu me fuis comme la peste, que tu ne te retournes jamais. Je veux que tu trouves une autre, que tu lui promette la lune. Fais-la rêver.

Je veux de tout, je veux rien. 
Je veux vivre et mourir. 
Je veux respirer l’air mais elle m’étouffe. 
Je veux comprendre ce qui m’entoure alors pourquoi tout glisse sur ma paume? 

Petite je pensais que plus grande mes pensées serait plus joyeuses. Un peu plus optimistes. Mais plus je vieillis et plus je sombre. Un jour je ne serais plus là, et à ce jour, te demanderas-tu si tu as fait tout ton possible ou si tu as perdu du temps?

tes yeux sont vitreux, toi, âme-soeur, ne te jette pas sous les flammes de l’enfer.

Demain n’existe pas

FeaturedDemain n’existe pas

Ce soir je suis tombée sur toi. Tu me dis que le hasard n’existe pas, que tout à pour but de nous emmener quelque part. Ta vision m’étonne. Ta manière de toucher les choses du bout de tes doigts me paralyse. J’ai besoin de ça. J’ai besoin d’un nouvel air. J’ai besoin de me sentir vivante, que tu me rendes vivante. Je me suis cachée si longtemps, dans l’espoir qu’une âme comprennent l’obscurité qui m’entoure. T’es venu, tel un prince avec qu’une seule quête en tête, sauver sa princesse. Alors tu sais que je suis idéaliste. Je crois en l’amour aussi fort que toi tu crois en ce monde. Je crois en la beauté de deux personnes qui ne forment plus qu’un. J’aime la complexité, j’aime déchiffrer ton regard, comprendre tes silences. Aspirer tes soupirs. J’aime ne pas avoir le contrôle, de me battre pour capter ton attention. J’aime le challenge. J’aime jouer, quitte à me brûler. Parce que voilà ce que je me dis, le temps coule. Il coule sur nos mains.
Demain je ne serais plus là.
Demain, je n’existerai plus.
Demain est un futur qui n’existe pas.

Si tu veux me comprendre alors viens maintenant.

Dans le présent, là où j’existe.

Je me tiens tel un funambule au péril de ma vie. 

2016

J’ai l’envie d’écrire en cette nuit tardive. Je me sens si bien. Vous n’avez pas idées. J’ai vécu pas mal de choses. Me suis certainement perdue dans des mensonges, des choses mal. Je me suis posée des tonnes de questions. J’ai fais du mal à des personnes, ont m’en a fais du mal. Je voulais combler un vide. Mais je le faisais de la mauvaise manière. On veut tous combler ce vide, mais au lieu de le faire on l’agrandit encore plus en s’enfonçant nous-même dedans. Je ne me considère pas comme un grand écrivain. Je ne pense pas avoir un talent ou je ne sais quoi. Mais j’ai toujours eu cette envie d’écrire ce que je ressens. Tellement fort, que même les mots ne suffisent plus pour exprimer mes émotions. Mais je le fais quand même. Car d’une certaine manière c’est libérateur. Non. Cette année ne sera plus des textes dépressif. Des textes qui ne donne pas envie d’avancer. D’aller de l’avant. De grandir. Je n’ai plus envie, et ne suis plus cette personne. Les yeux de mon cœur ce sont ouvert. Ne critiquer pas ce que je compte dire là maintenant. J’aimerais qu’on respecte chacun ces croyances, et sa foi. Personnellement, j’ai d’une certaine manière rencontrer Dieu. Je suis née dans une famille chrétienne. J’ai toujours été baigné dedans. Mais je ne me sentais guère bien. J’étais perdue. Ne sachant pas qui je suivais, mes parents? Par obligations? Je faisais un faux-semblant pour satisfaire tous le monde. Mais au fond de moi je sentais que je n’étais jamais vraiment seule. Il était toujours là pour moi. Même quand je le repoussais et faisais comme s’Il n’existait pas. J’ai vécu des miracles. Rien qu’en 2014 quand j’ai eu mon accident de voiture. Quand on le voit de nos propres yeux, quand on le ressent. On ne peut pas l’ignorer. On ne peut pas. Je ne pouvais pas. Je suis heureuse grâce à Lui. Heureuse parce que j’ai retrouvée ma voie, ma voix. Je suis heureuse et je veux vous partager ma vie. Mes erreurs. Mes inquiétudes. Mes réussites. Je veux que cette année soit différente. Je veux un nouveau départ. T’as le choix aussi d’avoir un nouveau départ. Ce n’est pas simple. Je sais ce que sait d’être plus bas que terre, de vouloir mourir. Mais il y a tellement plus. Parfois, il faut juste avoir le courage d’ouvrir les yeux et d’être optimiste. Cela peut paraître idiot mais. Un peu de positivité dans vos phrases vous rend plus lumineux que d’être toujours négatif. Pour être heureux, il faut lâcher le passé. Avancer la tête bien haute. Etre positif. Et pour moi personnellement, avoir Jésus dans son cœur.

Bonne année mes lecteurs, je vous remercie d’ailleurs de prendre votre temps de me lire.

.Retour.

Je me rappelle quand je te disais que ce n’étais que le commencement. Qu’on en vivra des choses seulement si on se le permet. J’ai peur tu sais. J’avais peur du moins. Peur de ce bonheur. Peur de me laisser aller. Je ne le méritais pas. Je ne pouvais pas. Mais quelque part dans ce chemin empli de trou béant, d’épine, de bosse, de pente. J’ai fini par comprendre. J’ai droit au bonheur, comme toi tu as droit d’être joyeuse. Tu sais la vie c’est compliquée à comprendre. Dans nos faibles yeux d’humains on ne comprend pas tout. Mais parfois, parfois il suffit seulement d’ouvrir les yeux de notre coeur. Personnellement je l’ai fais. J’ai bien plus maintenant en moi qui m’aide à comprendre la vie. T’sais parfois j’ai une colère noire. Brutale. Violente. Parfois elle vient comme un coup d’éclair, impossible à contrôler. Et cela me fais peur parfois, car je me dis si je me laisse vraiment aller un jour, jusqu’où irais-je? Un ami m’aide à contrôler tout cela. Ma colère, ma haine, ma jalousie. Et tout ce qui peut être considérer comme mauvais.
On s’était perdue dans nos mensonges. Sans savoir que d’une certaine manière on se blessait. Père avait l’habitude de me dire que, la vérité éclate toujours. Qu’on le veuille ou pas, elle vient. Et je peux vous dire que c’est véridique. Un mensonge c’est comme un sable mouvant. Plus t’essaye de t’en dépêtrer de la mauvaise manière. Plus tu t’enfonceras. Mais si tu décides de ne plus bouger un instant et de réfléchir à comment sortir de là, en l’occurrence ici, la vérité. Alors tu en sortiras vivant.
Mes mots ne sont pas que maux. Ils sont la musique de ma voix. Les battements de mon coeur. Les tapements de mes doigts. Mes mots sont une partie de moi que je vous livre. Je vous donne quelque chose de précieux.

Je te l’ai dis, ce n’est que le commencement.

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Le commencement…

Je ne sais pas vraiment ce que je fous là. Je me dis qu’écrire quelque part ne me ferais pas de mal. Vous savez ce truc de se persuader une chose en y croyant si fort que l’on finit par y croire. Je ne sais pas non plus qui va tomber sur ce blog. Mais j’espère qu’il vous apportera plus qu’il m’apporte. On dit qu’écrire est le meilleur remède pour panser ses maux. Je vais tenter l’expérience, je vous en dirais plus après. Que dire. Je suis là encore ce soir. A lutté contre mes pensées. Ces mots qui frappent dans ma tête. Cela me rends malade. J’ai envie de hurler parfois. Pleurer. Taper. J’ai envie de beaucoup vous savez. Mais. Est-ce que cela va vraiment me sauver de moi-même? Est-ce que seulement ce que je ressens va m’aider à avancer? Je vois des milliards de personne aller de l’avant mais retomber dans leur travers à la minute qui passe. S’il faut avancer. Autant le faire bien. Je préfère ruminer pendant un moment. Puis me relever et aller de l’avant. Et ne plus jamais me retourner. Ne plus jamais retomber ici. Je ne reviendrais plus. Je ne serais plus. C’est si dure de vous expliquez ce qu’il y a dans ma tête. Je ferais au mieux pour vous faire comprendre. Je ne suis pas très claire aux heures tardives. Je vous souhaite une merveilleuse journée ou nuit, cela dépend de quand vous lisez ceci. Et bienvenue pour ce chemin d’aventure avec moi.

Surtout, bonne chance.

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